(hrp : je considère que je suis sortit de la forge, quoi qu'il est pu se passer, juste pour un gain de temps et parce que je suis motivé ^^ :D)

La fraîcheur relative de la rue par rapport à la chaleur abyssal de la forge ne trahis aucun frissons chez ce personnage empreint de mystère, il continua comme si il avait l'habitude des grands changements de températures...

C'est alors qu'il trouva un endroit fort interessant, une boutique de magie...

Boutique de magie Pendragon murmura t-il tel une brise légère, tout en se demandant ce que pouvais être un Pendragon, ou qui...

Il ne se tourmenta pas trop longtemps, et décida d'entrer dans cette boutique.

Son nez caché par la pénombre de sa capuche reconnu l'odeur d'un laboratoire, ou en tout cas d'ingrédients...

Il y a quelqu'un ? en haussant un peu sa voix pour qu'elle se répercute jusqu'au possible laboratoire ou dans tout autre endroit de ce magasin.

Finrod patienta quelques instant, si la porte était ouverte, c'est qu'il devait y avoir quelqu'un. Il ne se fit pas attendre longtemps, il entendit quelqu'un approcher.

Bonjour Fit-il d'une voix toujours neutre.

Vous m'avez là... une bien charmente boutique, qui m'a l'air bien équipée Tout en esquissant un petit sourire, flatter les mages dans leurs égo marchait la plupart du temps...

J'aurai voulu savoir si vous n'auriez pas un peu de craie à pouvoir conducteur pour me dépanner, je fais des recherches sur la conductivité de la magie et j'ai remarqué que je n'en avait plus... Et ne connaissant personne dans cette ville, je ne pense pas pouvoir en trouver en un autre endroit... Je pourrai même vous exposer le fruit de mes recherches ! Dit-il en mettant l'appat parfait devant lui, la connaissance, qu'est-ce qui vaut plus cher et est plus puissant que le savoir?

Alors, il pensa à l'un de ses enseignements qu'il devra aussi graver dans son nouveau chez-lui : « Quand vous croyez à certains mots, vous croyez à leurs arguments cachés. Quand vous croyez que quelque chose est exact ou faux, juste ou injuste, vous croyez aux hypothèses contenues dans les mots qui expriment les arguments. De telles hypothèses sont souvent pleines de trous, mais elles ont la qualité précieuse de convaincre. »

Sinon... que puis-je dire de plus pour vous convaincre ? Peut être que la vie ne peut trouver de raison de continuer, ne peut être une source de considération décente et mutuelle que si chacun de nous a décidé de lui insuffler ces qualités là... Finit-il par dire, en laissant la parole à son interlocuteur.

(HJ: Me tappez pas, je joues aussi Yeza donc comme Isabelle ne s'est jamais repointé le bout du nez, en tant qu'Admin fondatrice, je prends plein pouvoir de la place , gnark! )

Mya était venue faire emplettes dans la boutique, quoi qu'elle était pour ainsi dire abandonné depuis fort longtemps. Ses doigts parcourraient le présentoir d'ingrédients diverses et toutes plus bizarres les unes que les autres mais pas pour elle. Elle rêvait de reprendre les rênes de cette boutique, comme la propriétaire n'y revenait plus, ayant disparut de la circulation depuis belle lurette.

Elle allait terminer ses études sous peu. Ses 18 ans approchaient à grands pas, ce qui n'était pas pour la déplaîre.

Un homme entra dans la boutique alors qu'elle se tenait derrière le comptoir à rêver d'en être l'acquérante. Il lui adressa la parole et elle dûe se rendre à l'évidence qu'il croyait qu'elle était bel et bien la propriétaire de l'endroit.

- Je suis désolée monsieur mais cette boutique est abandonnée depuis bientôt 3 mois, toutefois je comptes me l'offrir dans 1 mois tout au plus, étant donné mon savoir en la matière. De la craie à pouvoirs conducteurs dites-vous?...

La jeune femme se dirigea alors d'un pas lent mais assuré vers une étagère. Pour une fois, s'en était une qu'elle pouvait atteindre sans monter sur un escabeau.

L'homme l'intriguait. Il était mystérieux et une lueur noire se cachait au plus profond de ses yeux. Elle en frissonna de contentement. Il y aurait peut-être un peu d'action à Centhory? Elle en mourrait d'envie, ne se rendant pas compte qu'elle enfonçait ses ongles dans le comptoir en lui tendant le pot de craie en question.

- Voilà. Pas besoin de me payer étant donné que la boutique n'appartient techniquement encore à personne...

Regardant la jeune femme chercher la craie magique, Finrod se dit qu'il était bien tombé, si personne ne tennait plus ce magasin, d'être tombé sur la probable future propriètaire.

Je vous remercie, cet ingrédient est plus que neccessaire pour les recherches que je mène. Fit-il calmement, tout en fixant ses yeux sur ceux de son interlocutrice.

Les yeux sont le reflet de l'âme comme l'on le dit Insistant bien sur sa phrase.

Puis il eut envie de lire une de ses citations : « En vous confinant dans un simple rôle d’observateur, vous passez systématiquement à côté du sens même de vôtre vie. L’idéal pourrait être ainsi défini : Vivez de votre mieux. La vie est un jeu dont les règles s’apprennent en y sautant à pieds joints pour être immergé jusqu’au cou sous peine d’être toujours pris au dépourvu, toujours surpris par le moindre changement de décor. Les spectateurs passifs se plaignent en gémissant que la chance est passée juste à côté d’eux. Ils refusent de voir q’une bonne part de cette chance, c’est à eux qu’il revenait de la créer. » Dit-il aussi calmement qu'un professeur essayant d'aider un élève qui en veut.

Il se pourrait que j'aie besoin d'aide dans mes travaux futurs, et vous m'avez l'air compétante... A vous d'y réflèchir. Continuant dans la lignée de sa citation.

Mya se rebuta tout-à-coup.

- Non mais vous me prenez pour une idiote? Je ne sais même pas sur quoi vous travaillez et moi je dirais oui sans réfléchir?

Elle s'emportait souvent ces derniers temps. Surtout qu'elle ne comprenait pas encore tout les mystères de sa propre famille, qu'elle ne connaissait pas vraiment. Oui le mal la tentait mais pas pour y sauter à pied joint sans savoir dans quoi elle s'embarquait. Elle se sentit finalement malalaise de se trouver devant ce type qu'elle ne connaissait pas mais reprit sa contenance pour ne pas passer pour une idiote. Ce qu'elle était loin d'être, bien au contraire.

- Alors dites-moi ce que vous voyez dans mes yeux? L'innocence? La rage? L'excitation? Ais-je l'âme d'une guerrière ou bien d'une poltrone doublé d'une collégienne superficielle sans futur? Éclairez-moi de votre savoir...

Elle en avait marre qu'on se paie sa tête et là, ça semblait presque être un de ces gars qui profitent de l'innocence des jeunes filles pour en faire ce qu'ils veulent. Il avait beau avoir une sacré belle gueule et l'intriguer au plus haut point, elle n'allait pas se laisser faire.

(HJ: Désolé elle est soupe au lait ma Mya XD Faut la dompter, la frappe pas :P )

Et bien, pour reprendre mes paroles, je vous ais demandé d'y réflèchir, pas de me répondre immédiatement. Toujours aussi calmement, comme si le fit que Mya se soit rebuter ne l'étonnais pas.

Et... de toute façon, si vous m'aviez répondu de suite, je n'aurai pas continué. Il ne faut pas se laisser destabiliser par les mots, mais user de ce que l'on ressent, et pour savoir ce que l'on ressent avec certitude, il faut du temps. Finissant son expliquation, comme si la réponse de Mya avait été la bonne solution à ses yeux.

Pour ce que je vois dans vos yeux... ou plutôt au sein de ton âmeRectifia t'il.
Une certaine... appréhention, et plus profondément, certaine choses qui mériteraient que tu t'en occupes, mais c'est à toi seule de décider vers quel direction pointé ta destinée. Finit'il par dire, avec un petit quelques chose de glas à la fin de sa phrase.

- Et bien j'y réfléchirai. Qu'êtes-vous? Un scientifique? Vous ne ressemblez guère au profil que je m'en fait...

Aussi soudainement qu'elle s'était rebuté, elle sortit de derrière le comptoir et avança d'un pas convaincu vers l'homme, poussant même son audace jusqu'à arrêter à quelques centimètres de son visage et l'observa longuement. Comme pour s'en faire une bonne idée avant de poursuivre dans ses dires.

- Une ombre se cache dans ce regard qu'est le vôtre...Cette ombre me dit de dire oui, m'invite et me tente mais ma raison me dicte de ne pas accepter mais la tentation revient à la charge et l'attirance persiste, comme un serpent qui s'entortille autour de sa proie. Vous devez connaître ce pouvoir qu'est le vôtre. Même si vous ne dites mot. Peut-être que ma vilainerie m'emporte souvent et s'identifie à cette noirceur ou serait-ce votre physique de méchant garnement qui me donne le goût d'y mordre sans reculer? Dilemme, dilemme...

Retrouvant parfaitement ses moyens elle continua à vagabonder d'une allée à l'autre en jouant les indifférentes. Un jeu qu'elle aimait bien.

Finrod souriait intérieurement aux propo de cette jouvencelle.

Scientifique... il faudrait que vous m'éclairiez, car j'ignore ce que celà peut être Dit il innocement, il ne doit surement ne pas savoir ce que celà veut dire à voir son air.

Je serais donc un serpent pour vous ? esquissant un lèger sourire.

Hum... non... mon animal fétiche à toujours été le loup. Il est de loin plus noble que tout ces reptiles, sauriens et dragons confondu.

De vils traîtres qui n'ont pas hésiter à sacrifier la nature pour avoir un espoir... Perdu dans ses pensées, celles-ci semble venir du passé de Finrod.

Finrod se parla intérieurement, c'était à cause d'eux qu'il n'était plus blanc, mais gris, ils avaient osé faire l'irréparable, ils payeront tous pour ce crime.

L'ombre que tu vois en mon être... s'oposant à ta raison. Le combat semble faire rage à cause de la tentation... Continuant sa phrase apr une de ses citations :

 La civilisation est en grande partie fondée sur la couardise. Il est si simple de civiliser en enseignant à être lâche. Etouffez les critères qui conduiraient au courage. Limitez l’exercice de la volonté. Bouchez les horizons. Décrétez une loi pour chaque mouvement. Niez l’existence du chaos. Apprenez même aux enfants à respirer lentement… Domptez… Reprenant directement une autre phrase, comme ci il usait de ses dires comme tremplin.

Il me faut avouer que vous êtes un être interessant, vous n'avez pas peur de ce qui vous attend et... un semblant... farouche. Je vous laisse donc vaquer à vos occupations. Dit il la voyant faire l'indifférente.

La subtilité et le contrôle de sois sont deux grandes armes qu’il nous faut bien enretenir, vous êtes en bonne voie. Il se peut que nous nous reverrons.
Finit-il par dire avant de sortir du magasin après lui avoir dit au revoir.